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JARDINS MUNICIPAUX …

Juste retour des choses… ? Allez savoir…

Il était naturel que ma ville de résidence, celle qui est évoquée tout au long de JARDINS À L’ALGÉRIENNE éditions Grrrart, salue la création de mon ouvrage. Ceux et celles qui l’ont déjà lu, peuvent attester que, quelque part, c’est une sorte d’hommage que je rends à cette petite commune du 93 qui m’a vu grandir… enfin …qui a vu grandir Théo, le personnage central du roman.

Me voilà donc en tant qu’auteur dans les pages de ce bulletin municipal. Local Hero ? Vais-je pouvoir marcher dans la rue sans qu’on m’interpelle:  » Hé… on parle de vous dans le bulletin de DUGNY… vous êtes écrivain ?… »  » Hé… wesh Albert ?… t’as écrit un livre ?  » Dois-je mettre des lunettes noires pour ne pas être abordé tous les cinq mètres par un voisin, une vieille connaissance… un ennemi oublié ?

Dieu merci, je ne me promène tous les jours dans les rues de DUGNY… D’ailleurs ? Qui s’y promène ? Personne. Mon grand-père, le Chaloum du livre, allait s’asseoir sur le banc sur la place du marché, il y retrouvait d’autres vieux comme dans les villages de campagne…Et le Dimanche, jour de marchérégnait une efferversence joviale. On y vendait L’humanité à la criée. Le parti de droite discutait devant le marchand de journaux. On allait tariner vers onze heures pour croiser la fille du pharmacien, innaccesible déesse brune ou Bijou et sa soeur… Dugny a bien changé et changera encore… Où sont les vieux d’antan? Où sont les luttes fratricides de jadis ? Dans ces années 2010, on zone à Dugny près des cafés: le nouvel envol, le bar tabac Le romarin, le café de la poste … On erre à Dugny… On fait des courses sommaires : Diagonal a suplanté le Prisunic qui était devenu Franprix. Les boulangers ont changé, changé… Le pain est il aussi bon que ne l’était celui de Brugeat ? On va surtout à La Poste. Pour y faire la queue… et attendre, attendre son tour…comme dans toutes les postes…D’ailleurs c’est peut être pour ça que l’article est sur la même page ? Et puis à Dugny, que reste t il de nos amours enfantines ?   Dugny changera t il selon le rythme de la valse des  élections municipales. À vous de me le dire …

Et ne peut on pas se demander, qu’est une enfance à l’orée de la carte vermeille ?

Bon…c’est comme ça… faut assumer…

Vous en pensez quoi de l’article ?

JARDINS MUNICIPAL

LES LECTEURS de JARDINS à l’ALGÉRIENNE

Depuis que le livre vit ( début Avril), il se vend bien, et sans diffuseur autre que le site de mon éditeur (http://www.grrrart-editions.fr), les salons auquels je participe et moi bien sûr …

Et je constate avec étonnement, plaisir et questionnements que toutes les personnes qui m’ont acheté le livre, ont quelque chose à voir avec cette histoire d’Algérie. Il y a d’abord ma famille, qui bien sûr est directement impliquée dans cette blessure ancienne et mal cicatrisée. J’ai retrouvé, par le biais des réseaux sociaux des cousins, des cousines peu vues dans l’enfance et qui se sont manifestés pour me dire combien il se retrouvaient dans l’histoire de Théo.

Il y tous ceux qui ont vécu quelque chose « là-bas »… Soldats enrôlés malgré eux… Enfants ayant grandi près d’un  père en garnison ( gendarmes, militaires.) Fils et filles de rapatriés eux-mêmes, cherchant des bribes de relents de leur enfance au soleil d’Algérie… Fils et filles maghrebins essayant de comprendre les raisons de la venue de leurs parents en France dans les années 60… Responsables d’associations d’amitié entre les peuples, les religions. Et récemment une vieille dame de 80 ans dans un salon me confiant « qu’il étaient viticulteurs en Algérie et avaient laissé une propriété de plus de 500 ha ». Même les colons lisent mon livre…(sourire)

Je garde en mémoire ceux qui n’ont pas voulu acheter le livre, une dame originaire de Kabylie a lu la quatrième de couverture, elle m’a parlé et l’émotion a grandi, grandi à tel point qu’elle s’est mise à pleurer en parlant de son départ de là-bas. Non elle ne pourrait pas lire le livre, elle l’a reposé s’est excusé et est partie. Et puis, mon frère aussi, n’a pas voulu dépasser la page 30. J’ai demandé pourquoi à ma belle soeur, sans un mot, elle a mimé  avec ses mains les larmes qui coulent d’un visage.

L’histoire de cette déchirure a donc encore des résonnances actuelles et même parfois à vif. Je ne pensais pas que la petite histoire de Théo, pouvait les toucher au point de s’y reconnaître ou de reconnaître un des leurs… il ne faut pas oublier que le titre originel était:  » Des cicatrices encore toutes fraiches… »

Et puis d’autres lecteurs, ceux qui ont la nostalgie de la banlieue d’antan, avant qu’elle ne se détériore, ou qu’elle soit détériorée. Quand les grands immeubles neufs, donnaient de l’espoir à ceux qui commençaient une nouvelle vie, à l’écart de la capitale. Qu’on n’oublie pas, que lorsque les cités de BOBIGNY, ou des Quatre Milles de La Courneuve, par exemple, furent construites, les premiers locataires découvraient de vastes logements, des espaces verts au milieu des barres, des communes avec une riche vie associative.

Ce n’est qu’au fil du temps que l’état des lieux est allé à vau-l’eau et que tout s’est dégradé inexorablement, conditions de vie, entretiens des batiments etc… Qui est responsable ? La réponse est beaucoup trop multiple pour l’incomber à quelqu’un en particulier.

Théo de JARDINS à l’ALGÉRIENNE est somme toute, heureux de grandir et de découvrir sa nouvelle France dans cette banlieue des années 60.

Et, enfin une dernière catégorie de lecteurs et lectrices, ceux et celles qui n’ont rien à voir avec l’ALgérie ou la banlieue, mais qui ont eu une enfance dont il garde une nostalgie à travers des souvenirs particuliers ( éveil de la sexualité, un grand-parent, un mets oublié… un(e) ami(e) perdu de vue ou de vie…) Jardins à l’Algérienne réveillent le goût de leurs madeleines de Proust.  Et toutes les madeleines renvoient à nos madeleines, même si ce sont des zlabiah ou des chumbos ou la plage de la corniche à Aïn El Turk…

Merci à ces lecteurs… merci aux prochains aussi.

 

coyright Albert Labbouz ( desespoir productions)

 

Le premier lecteur de Jardins à l’algérienne, le responsable des archives dugny siennes

Bonjour Albert
J’ai lu dze booque. Il y a un petit « Mon oncle » de Jacques Tati qui n’est pas pour déplaire. C’est un bon témoignage sur le début des années 1960 entre campagne, chantier d’HLM, et les prémices de la France « plurielle ». Des fois, on y trouve des traits de lumière fulgurants et surréalistes : la chasse de nuit aux mulots.
Ton grand-père mériterait un livre à lui tout seul. Personnage fantastique et magique, conteur oriental totalement décalé dans ce décor aseptisé de banlieue…
Tu devrais écrire moins dans la précipitation car c’est souvent à l’emporte-pièce. Prendre le temps d’approfondir, développer. Mais c’est vrai tu es aussi un personnage bouillant, des idées trop la tête, tous azimuts. Ça peut dérouter le lecteur. Néanmoins… Tu as eu la bonne idée de mettre Dugny sur papier, et c’est riche. Ton truc a de la valeur. Une série de photos. Si on monte une expo, effectivement le sujet sera encore enrichi.
Le professeur Marteau, ne serait-ce pas Monsieur T. *? Je l’ai connu aussi avec ses cages à souris. Il est réapparu à Dugny il y a 5 ans, retraité. Il s’activait au club des vieux à créer un atelier Slam. Rigole pas. Il est venu me trouver pour pécher des documents aux archives. Il a écrit effectivement un slam avec les vieux qu’il a fait chanter par des jeunes. Un truc fou quoi ! Je l’ai en enregistrement ici. Le pauvre vieux a perdu son fils d’un cancer peu après, et a disparu depuis. Il n’a pas dû s’en remettre. Si un jour tu rencontres étoilée sa nièce actrice Audrey Tautou, tu lui… transmettras le sacré bonjour des dugnysiens reconnaissants.
Banania !.. Ce personnage. Je l’avais retrouvé dans les années 80 lors d’un reportage photo à l’école Langevin qu’il s’était attribuée comme un terrain de chasse gardée. Il y faisait son petit bizzeness photos portraits qu’il revendait ensuite aux parents et à la mairie. J’ai bien crû qu’il allait me mordre ce méchant.
Là dessus, j’ai communiqué le livre à la bibliothécaire pour qu’elle donne son point de vue à la responsable culturelle. Pas eu le choix. J’espère que plus loin, il ne s’arrêteront pas sur « Morsob De Gaulle ». Le maire étant gaulliste, sait-on jamais ? Ce serait vraiment bête.
JPL

* non ce n’était pas ce prof, mais c’était un de ses collègues..

Une première réaction sur JARDINS À L’ALGÉRIENNE…avant lecture…

« Tiens !: Albert se rappelle avant moi qu’on se doit une merguez partie. Chic !

Ah non : il a écrit un livre ! (merde, on f’ra pas de merguez partie, alors ?!)

Un livre …..encore euh….déjà!? Ok ! alors voyons …..c’est quoi …. !!? Hein …. ?? quoi !!….. C’est ….. C’est …. Mais c’est ….. : ah OUAIS ! !

Mais c’est le témoignage que j’attends depuis plus d’un lustre !!! ça.

-c’est « Feu Moi » en vrai, mais vu à l’envers. Non ?

-Des « pays » à toi que je connais m’ont narré cette histoire.

– Mais toi …… !?

Vois-tu, cette histoire elle m’obsède un peu . Disons qu’elle me tracasse. Elle m’attire, un peu comme la représentation d’un paradis perdu, en tout cas depuis fort fort longtemps. Et même en démêlant les culpabilités individuelles, de notre histoire collective, il reste la blessure et la sensation/ réminiscence des années 60. Des nouveaux potes arrivant d’Oran, nous apprenant que les oranges Françaises….. ne l’étaient plus. Double révélation dont je ne me suis toujours pas remis !!

Avec le temps. Elle berce ma nostalgie

-Bernadette m’a parlé longuement des explosions et des exactions croissantes jusqu’au printemps 62 à Sidi bel Abbès. A Toulon, été 83, je jouais à la pétanque avec son père !! Ambiance « Kémia-Anisette » qu’il reproduisait en se parodiant lui-même. Quel pied, quelle marrade !!(ma source pour la scène de Chantier cherch..)

Pascale ‘ma conté ses souvenirs de bambin « 60 » dans une orangeraie du sud algérois et Michèle m’a rapporté les propos de sa mère qui disait toujours : « ma vie c’est arrêtée à 24 ans !!! » Putain vingt-quatre ans…./…

Au tarot, avec Marie-Jo, on se s’rait cru à Bellecourt dans les années 50. Son accent nous incitait à pas merder dans le compte des atouts ou dans la chasse au petit, sous peine de passer « l’chiffon d’partèrre »avant de partir ! !

Patrick m’a narré par le menu l’errance de sa préadolescence de Alger à Toulon et à Nevers, puis de Fontainebleau à Rosny sous Bois. Je le connais quand il parle aux Arabes et quand il cuisine les poivrons……… et j’adore. Patrick est retourné en Algérie, en moto, au début des années 90. Y m’a dit avoir revu des lieux, et des gens, mais il n’a pas narré par le menu ! et depuis… y dipurien.

– « tu veux qu’eu »j’teu diize tan théaaâtre….. » oui Albert je veux que tu me dise !

Dans mes potes de toujours y’a un max de déracinés dans ton genre. Mais ton déracinement me semble parfois être aussi le mien. Cette France (purée d’sa race à elle !) de Lilles à Tamanraset on y est né et elle n’existe plus, sauf quand des mecs comme toi, en parles à des mecs comme moi !!

Et les mecs comme moi, y en veulent des témoignages. Et des histoires, des livres et des films. Y veulent des trucs comme « Gauloises Bleues » qui nous montre des amitiés inter communautaires de gamins d’ la communale qui se brisent dans la terrible incompréhension du pourquoi des choses.

France culture invite Benjamin Stora quasiment en boucle depuis Mars 2012 : ok !

Des historiens Algériens et Français poursuivent le travail de mémoire et d’analyse : soit !

Mais moi ; je vais lire ton livre. Et je sais déjà que je le préfère au précédent.

Sur ce coup là tu vas être un Albert Ego

Bises

Laurent

HISTORIQUE… 1er épisode.

Un jour de 1980… je me suis décidé à écrire un roman sur ma venue en FRANCE… Pas d’ordinateur, à cette époque. J’ai pris un cahier à spirale et j’ai commencé à écrire l’histoire de Théodore Zanah 7 ans, fils de rapatrié d’Algérie. J’avais le titre et tout…

DES CICATRICES ENCORE TOUTES FRAICHES…

Oui, car les cicatrices étaient encore à vif dans ma famille. L’Algérie avait été une blessure et nous les enfants en subissions les conséquences, comme forcés de porter la dépression familliale. Il est vrai que quitter son pays natal pour cause de guerre sourde et hypocrite n’est pas ce qui est de plus réjouissant à vivre. Débarquer dans un un autre pays qui, soi disant est votre allié, a quelque chose de pénible quand on s’aperçoit qu’on ne ressemble pas à tous ces gens chez qui on débarque. On est regardés d’une drôle de manière, on ne parle pas comme eux, ils ne parlent, ni ne mangent comme nous. Ils ont des habitudes étranges. Et chacun est étranger à l’autre, avec la différence que vous vous sentez plus intrus. On vous le fait comprendre vous n’êtes pas chez vous, tenez vous à carreaux et ne vous faites pas remarquer.

C’était ça le point de départ de mon roman. DES CICATRICES encore TOUTES FRAICHES… quoi. Et au fil des jours, au fil de ma vie, j’ai avancé cette écriture. J’avais 26 ans…

Et j’ai parlé des cicatrices, mais aussi de la nostalgie, de mes premières années en banlieue. Enfin… j’ai parlé de ce gosse Théo, ce gosse tel que je me voyais en regardant dans le rétroviseur.

Il  fut écrit… mais il changea de titre. Longtemps, il s’est appelé : LES JARDINS DU MANOIR. Je suis né rue des Jardins, j’ai grandi rue du manoir à ORAN. Longtemps il a été expédié dans des maisons d’éditions sous ce titre. Je fus encouragé ( sans qu’il le publie pour autant) par feu Jean Marc Roberts, qui, talentueux, me rédigea un courrier personnel où il disait qu’il croyait en mon écriture. Je fus déçu quand, des années plus tard,  lui envoyant un autre manuscrit d’un  autre moman, il rédigea la même lettre, sans se souvenir qu’il m’avait dit les mêmes mots. Lettre type habile, il m’avait fait croire à mon talent. Mensonges des grands… des grandes maisons d’éditions. Mais cela avait eu quelque chose de bon malgré tout. J’avais retravaillé Les JARDINS DU MANOIR qui maintenant s’appellaient COUSCOUS-BANLIEUE.

(couscous boulettes… kif-kif)

Il fallut attendre quelques années et quelques réécritures, et pas mal de lettres types de refus pour que je me décide à ne plus jamais y toucher… il ne ne serait JAMAIS publié !

J’ai eu des amours catas, des amitiés biscornues, J’ai connu ma compagne, j’ai eu des enfants, j’ai changé de métier, j’ai fait du théatre, de la chanson, j’ai écrit d’autres choses: La chute d’Ouzoud et Une baleine sur le sable publiés par un pseudo éditeur sur le net qui retient tjs mes droits d’auteurs: manuscrit.com.

Les JARDINS DU MANOIR devenue JARDINS À L’ALGÉRIENNE dormait dans un grand carton, et dans un ordinateur sous différentes moutures.

32 ans plus tard,  je croisais le chemin de GEORGES GRARD qui publia RENCONTRES ÉTOILÉES. Je le tannais, quelques mois plus tard, avec JARDINS À L’ALGÉRIENNE. Oui, j avais changé le titre. J’avais abandonné aussi Chroniques banlieusardes d’un fils de rapatrié. Georges aimait le livre, mais un petit éditeur indépendant est souvent sur la corde raide, même s’il est passionné par son métier et les écritures différentes. Alors, il attendait, plus de ventes de rencontres étoilées, de ses autres auteurs etc…

Mais, il m’avait promis et il tint promesse.

AUJOURD’HUI 24 AVRIL , pour 17 euros sans frais de port, on peut se procurer mon livre sur http://www.grrrart-editions.fr avant qu’il ne soit en vente courant juillet dans les librairies et sur les plateformes de vente internet.

JARDINS À L’ALGÉRIENNE a rencontré avant son existence éditoriale d’autres aventures, que je vous narrerai plus tard.

mais pour l’instant comme disent les américains , si vous le lisez

ENJOY !

Albert Labbouz

ça y est… il existe… il rencontre ses premiers lecteurs.

J’ai enfin eu les premiers exemplaires de

JARDINS À L’ALGÉRIENNE.

Un beau livre de 420 pages avec quelques photos en fin d’ouvrage, pour permettre au lecteur de visualiser presque de manière impressionniste, la banlieue du personnage principale, l’école, les enfants de cette époque, le grand-père évoqué dans un chapitre, la maison d’enfance à Oran…

Sûr et certain, il sera en vente sans frais de port sur le site des éditions Grrrart dans la semaine : http://www.grrrart-editions.fr ( attention tapez bien les 3 rrrr ! ) soyez dans les premiers à le lire, à le commenter… !!!

et dès juillet, il sera disponible  dans toutes les librairies et sur le net, pour que ce soit un roman d’été, mais vous le ferez connaitre aussi pour qu’il devienne un roman de rentrée.

Au premier salon du livre de Mormant dans le 77, il a très bien débuté sa vie. Et chaque acheteur se sentait concerné, soit pas l’enfance, soit par l’identité, soit par la campagne qui, au fil des ans s’est muée en banlieue, soit par cette période trouble qu’on a pudiquement appelé: « les évènements d’Algérie… »

Finalement, la nostalgie est bien ce qu’elle est… L’enfance est la base qui nous construit dans nos vies d’adulte. Même si chaque enfance est particulière, elle a un tronc commun avec toutes les enfances du monde. Nous l’avons chevillée, tapie au fond de nous, et les blessures, les joies, les peines, et les espérances sont quasiment identiques entre elles, dans le monde. L’universalité de l’enfance nous soude, tous. Et nos Jardins qu’ils soient algériens, français, africains,  portugais, chinois, américains… sont les jardins de l’enfance.

L’enfance … l’enfance …omniprésente, toujours recommencée!

 

ALBERT LABBOUZ

 

SORTIE RETARDÉE…

Il faudra attendre. La sortie de JARDINS À L’ALGERIENNE est retardée. L’imprimeur a buggué et ne l’a pas lancé en temps voulu. Du coup, tout le travail de distribution s’en trouve retardé aussi. Chez les libraires, sur les sites de ventes ( Fnac.Amazon.Decitre…)

Le livre devrait être entre les mains de mon éditeur la semaine prochaine entre le 20 et le 25 AVRIL !

Au mieux, il sera en vente en juin ou juillet, au pire en septembre en pleine rentrée littéraire. J’en aviserai ceux et celles qui l’attendent et qui veulent se le procurer chez leur libraire habituel.

MAIS consolation. Ceux et celles qui voudront l’avoir dès sa sortie des presses de cet imprimeur maudit, pourrons dans la semaine du 22 avril le commander sur le site de l’éditeur quand le webmaster l’aura mis en ligne. http://www.grrrart-editions.fr. Les frais de port, d’envoi sont gratuits, le roman est à 17 euros.

D’autres lecteurs, présents sur les salons où je serai: Mormant, EU, Cosne sur Loire, auront également ma dédicace.

Ce contretemps me désole, car les mailings étaient prêts, des contacts pris avec des sites, des journalistes… Attaché de presse de moi-même J’attendais pour les relancer

Mais j’ai attendu plus de 30 ans pour voir ce livre publié, ce n’est pas quelques semaines de + qui vont m’attrister.

Parenthèse: Ce genre de désagrément, c’est le lot des petits éditeurs et des auteurs hors des grosses machines éditoriales des requins de l’édition. Suivez mon regard…

On est artisan ou on ne l’est pas. Et un artisan travaille avec le coeur, non ?

A très VITE.

 

ALBERT LABBOUZ

 

JARDINS À L’ALGÉRIENNE

Voilà, c’est officiel

Jardins à l’algérienne va enfin etre publié. La génèse de ce livre remonte à des années plus de 30 ans. Il s’est d’abord appelé LES JARDINS DU MANOIR, puis COUSCOUS BANLIEUE, et enfin JARDINS À L’ALGÉRIENNE…

De refus d’éditions j’en ai eu des tas… Il a été manié, remanié, trituré, écrit réécrit.

et enfin un éditeur a reconnu son utilité. Georges Grard.  Il prend des risques à le publier, car c’est un petit éditeur, mais costaud, énergique et enthousiaste. Merci à lui !

Il part à la correction ce jour, il sera en vente entre Mars et Avril.

sur ce Blog au fur et à mesure je vous en dirai plus…

 

ALBERT LABBOUZ